"La scénographie met en abyme les portraits et caricatures de Colette. Et s’il regarde à travers les faux miroirs, le visiteur lui aussi finit par se voir au loin, un peu perdu et tout petit mais au centre de cet univers bleu habité par les multiples images de Colette."

À l’image de la scène publique que Colette occupe l'exposition est centrée dans un espace monochrome bleu cyan, support de représentation d’une vie de monstration et de démonstration déroulant les captations des personnalités d’une femme observée.

La typographie de l'exposition a été créé à partir de la berthold akzindenz Grotesk. La mise en abyme typographique de cette dernière provoque un interlignage et un interlettrage déformé, exageré pour aboutir à une caricature du caractère de base.